Françoise : Je pense qu'il est assez sentimental. (Silence). Je n’arrêtais pas de dire à son père de lui parler des histoires de sida, etc. Je ne sais pas s'il l'a jamais fait. C'était quand même très préoccupant. Ça me préoccupe d'ailleurs encore maintenant, quand j'y pense.
Thomas : Oui, mais ça, c'est rien, enfin...
Françoise : Si, quand même. Sinon, je n'ai jamais rien cherché à savoir. De toute façon, il a été très précoce et donc, à un âge très... précoce, il m'a annoncé...
Thomas : Stop ! (Rires).
Françoise : il m'a fait part de ce qui se passait dans sa vie personnelle et j'étais très contente pour lui parce qu'il était très content. Mais moi, je ne lui ai jamais dit quoi que ce soit par rapport à ça...
Thomas : Il y a un truc aussi : on a toujours eu un contact très câlin, très charnel aussi. On s'est toujours fait des câlins, des bisous avant de dormir.
Françoise : Oui, oui.
Thomas : On ne s'est jamais couchés fâchés.
Françoise : Oui, on s'endormait la main dans la main. (Elle rit.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire