Lorsqu'elle évoque les années soixante, nul regret chez celle qui en fut l'une des idoles, d'où son invitation à "Sacrée soirée". Françoise Hardy reconnaît que pour elle et pour tous les jeunes d'alors, ce furent des années roses : "Nous vivions dans l'insouciance la plus complète, sans épée de Damoclès au-dessus de la tête tels que le sida ou la guerre. Je mesure la différence de vie entre la mienne et celle de mon fils, Thomas, qui a le même âge, 17 ans, que celui que j'avais lorsque tout a commencé pour moi. Pourtant, c'est un enfant privilégié par rapport à d'autres. Il a une vie confortable et il est, de plus un élève brillant. Il a eu son bac avec mention et se prépare à faire une école de cinéma. Aura-t-il, lui, la possibilité de réaliser son ambition, alors que pour moi, dès le moment où j'ai découvert à 16 ans, le rock'n roll, grâce à Paul Anka et Cliff Richards (Oh! "Living Doll" et "Travelling Light"), ma voie était toute tracée, je composerais des chansons."
Site d'information avec blog et forum de discussion sur Françoise Hardy.
samedi 16 septembre 2017
Janvier 1991 : Françoise Hardy n'oublie pas la chanson (Télé 7 Jours)
FRANCOISE HARDY : JE N'OUBLIE PAS LA CHANSON
Je me
souviens en particulier d'une tenue Courrèges, une petite robe courte
blanc cassé, confortable et esthétique à la fois. Cette robe, Drucker,
pour une de ses émissions sur les années soixante, l'avait faire refaire
d'après mes mesures de l'époque. Elle m'allait encore comme un gant.
Peut-être parce que nous sommes des enfants issus des années de guerre,
nous avons eu de la chance, aussi bien Sylvie Vartan que Sheila, de ne
pas avoir épaissi."
Lorsqu'elle évoque les années soixante, nul regret chez celle qui en fut l'une des idoles, d'où son invitation à "Sacrée soirée". Françoise Hardy reconnaît que pour elle et pour tous les jeunes d'alors, ce furent des années roses : "Nous vivions dans l'insouciance la plus complète, sans épée de Damoclès au-dessus de la tête tels que le sida ou la guerre. Je mesure la différence de vie entre la mienne et celle de mon fils, Thomas, qui a le même âge, 17 ans, que celui que j'avais lorsque tout a commencé pour moi. Pourtant, c'est un enfant privilégié par rapport à d'autres. Il a une vie confortable et il est, de plus un élève brillant. Il a eu son bac avec mention et se prépare à faire une école de cinéma. Aura-t-il, lui, la possibilité de réaliser son ambition, alors que pour moi, dès le moment où j'ai découvert à 16 ans, le rock'n roll, grâce à Paul Anka et Cliff Richards (Oh! "Living Doll" et "Travelling Light"), ma voie était toute tracée, je composerais des chansons."
Lorsqu'elle évoque les années soixante, nul regret chez celle qui en fut l'une des idoles, d'où son invitation à "Sacrée soirée". Françoise Hardy reconnaît que pour elle et pour tous les jeunes d'alors, ce furent des années roses : "Nous vivions dans l'insouciance la plus complète, sans épée de Damoclès au-dessus de la tête tels que le sida ou la guerre. Je mesure la différence de vie entre la mienne et celle de mon fils, Thomas, qui a le même âge, 17 ans, que celui que j'avais lorsque tout a commencé pour moi. Pourtant, c'est un enfant privilégié par rapport à d'autres. Il a une vie confortable et il est, de plus un élève brillant. Il a eu son bac avec mention et se prépare à faire une école de cinéma. Aura-t-il, lui, la possibilité de réaliser son ambition, alors que pour moi, dès le moment où j'ai découvert à 16 ans, le rock'n roll, grâce à Paul Anka et Cliff Richards (Oh! "Living Doll" et "Travelling Light"), ma voie était toute tracée, je composerais des chansons."
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire