samedi 7 juillet 2018

Capricorne vs Cancer : L'histoire de Françoise Hardy (PopMatters) - (5ème extrait)

16 juin 1973 : Transit de Vénus en sextile avec l'ascendant natal
Une relation amoureuse peut commencer sous un tel transit. - Robert Hand, Ibid.
La romance de Françoise avec le photographe Jean-Marie Périer, le paradoxe de son mariage tendu avec Jacques Dutronc et de leur indéfectible amitié - tout est dans Le Désespoir des singes, y compris les commentaires sur son attirance pour Mick Jagger, sa brève rencontre avec Bob Dylan, et une ou deux rencontres illicites avec des amants qui, affolés, restent anonymes. Mais ceci est l'histoire d'une vie, pas d'un amour, et aucun personnage ne peut prétendre au titre d'âme sœur.

D'ailleurs, le livre précise, que s'il y a un amour dans la vie de Françoise, c'est son fils, Thomas, né de son union avec Jacques Dutronc en 1973. Alors qu'elle passe plus d'une nuit blanche dans les profondeurs du désespoir sur l'un ou l'autre de ses prétendants, les histoires qu'elle raconte sur Thomas sont remplies de chaleur et de tendresse.

Elle écrit : "le cadeau de son premier sourire, un moment inoubliable." Au milieu de sa carrière, de ses hauts et ses bas conjugaux au cours des 20 années suivantes, d'une retraite de la musique dans les années 80 et d'un retour dans les années 90, les banals passages domestiques impliquant son garçon en pleine croissance sont un doux contrepoint. L'anxiété qu'elle décrit lorsque Thomas décide de poursuivre une carrière musicale, sa joie quand il y parvient, tout cela vient de cet espoir prudent et altruiste qui accompagne l'amour parental. Elle dédie Le désespoir des singes à Thomas. La photo finale sur papier glacé au milieu du livre est une photo de Thomas, légendée : "... son expression me fait fondre." Thomas ne l'abandonne jamais.

Texte original :

16 June 1973 : Transiting Venus Sextile Natal Ascendant
A love relationship may start under such a transit. -- Robert Hand, Ibid.

Françoise's romance with photographer Jean-Marie Périer, the paradox of her fraught marriage and enduring friendship with Jacques Dutronc -- it's all there in The Despair of Monkeys, along with observations on her attraction to Mick Jagger, her brief audience with Bob Dylan, and one or two illicit encounters with lovers who, maddeningly, remain anonymous. But this is the story of one life, not one love, and no one character can claim the title of Soulmate.
Besides, the book makes clear, if there is one love of Françoise's life, it's her son, Thomas, born to her and Jacques Dutronc in 1973. While she spends more than one nuit blanche in the depths of despair over one or another of her suitors, the stories she tells of Thomas are filled with warmth and tenderness.
She writes of "the gift of his first smile, an unforgettable moment." Through her career and marital ups and downs over the next 20 years, a retreat from music in the '80s and a resurgence in the '90s, the mundane domestic passages involving her growing boy are a sweet counterpoint. The trepidation she describes when Thomas decides to pursue a music career, her delight when he succeeds at it, all of it comes from that cautious, selfless hope that accompanies parental love. She dedicates The Despair of Monkeys to Thomas. The final glossy photo in the book's middle is a photo of Thomas, captioned: "... his expression makes me melt." Thomas never lets her down.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire