En 1965, le journal italien Ciao Amici évoquait un accident automobile dans lequel Françoise venait d'être blessée.
Heureusement les nouvelles suivantes, données par Radio Luxembourg qui avait exceptionnellement interrompu son programme « Spécial vacances », étaient moins dramatiques : Françoise était seulement blessée au niveau du quatrième disque de la colonne vertébrale. C'était ennuyeux et même très douloureux, mais au moins pas irrémédiable.
Les premiers qui ont pu lui rendre visite lui ont fait raconter toute l'histoire. Avec un pâle sourire la chanteuse blonde a expliqué à ses nombreux amis notamment d'Italie comment ça c'était passé : "Nous roulions à vive allure vers la maison, le long d'une route déserte. Soudain, nous avons franchi un tronçon de route sur lequel avaient débuté depuis quelques jours des travaux de réfection. Il y aurait dû y avoir les signalisations réglementaires, mais quelqu'un, semble-t-il, les avait mises à terre : le fait est que je n'ai vu aucune signalisation de danger. Et je me suis aventurée à toute vitesse sur ce morceau de route réduite à une vraie tranchée. Les conséquences, vous les constatez : je suis ici, immobilisée. J'ai aussi peur de ne pas sortir …"
Puis, accentuant un petit sourire, elle a ajouté: "On m'accuse d'être superstitieuse. Avez-vous remarqué la date de l'accident ? Le treize juillet. Ne venez plus me dire que le treizième jour porte bonheur, je vous jure que je n'y crois pas ... ".
Texte d'origine : Per fortuna le notizie successive, diramate da Radio Louxembourg che aveva interrotto il programma " Special vacances" appositamente, erano meno drammaticho: Françoise si era soltanto stogato il quarto disco della colonna vertebrale. Era un guaio, anche molto doloroso, ma almeno non irreparabile. Chi andò a trovarla, appena lo possìbile, sì fece raccontare tutta la storia. Con un pallido sorriso la blonda cantate che ha tanti amici anche in Italia disse com'era andata : - Correvamo verso casa, lungo la strada vuota. Improvvisamente capitammo in un tratto dì strada su cui durante il giorno erano cominciati dei lavori di rifacimento. Avrebbero dovuto esserci le segnalazioni regolamentari, ma qualcuno, forse, le aveva abbattute: fatto sta che io non vidi alcun segnate di pericolo. E mi avventurai a tutta velocita su quel pezzo dì strada ridotta a una vera trincea. Le conseguenze, le vedete: sono qui, immobolizzata. Ho anche tanta paura di non uscire...
Poi, accentuando un tantino il sorrise, aggiunso : - Mi rimproverano di essere superstiziosa. Avete fatto caso alla data dell'incidente? Tredici luglio: non venite più a dirmi che il tredici porta buono, giuro che non vi crederei... ".
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