Vendredi 17 janvier, à midi trente (l'heure habituelle de son réveil), Françoise Hardy a eu vingt ans. Une pluie de cadeaux s'est abattue sur elle. Le photographe Jean-Marie Périer (qu'elle appelle "son compagnon des bons et des mauvais jours", préférant cette métaphore au mot fiancé) lui a offert une splendide montre en or blanc, avec des étoiles d'or jaune et un bracelet de daim : le tout signé Cartier.
De sa sœur, Michèle (d'un an et demi sa cadette), elle a reçu un gros album illustré (en édition de luxe) sur l'histoire de la magie, sujet qui passionne Françoise. Joignant l’utile à l'agréable, leur mère, Mme Hardy, lui a remis une trousse de couture. "Voilà pour la famille", dit Françoise, qui, de son côté, s'est acheté, en vue de ses prochains déplacements, trois sacs à bandoulière ("mon bagage préféré") ; et "pour satisfaire un sentiment de curiosité professionnelle bien légitime", le premier disque de J.-C. Brialy ("l'adorable et spirituel Jean-Claude").
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