Ah oui, et puis il y a eu la légendaire rencontre avec Bob Dylan à Paris. En 1966, il a donné un concert à l'Olympia et elle était assise au premier rang. Il avait l'air malade et sa musique sonnait misérablement. Au cours d'un long entracte, à un moment donné, quelqu'un est venu à elle - pour juste lui demander d'aller dans les coulisses, car le maître n'accepterait pas de revenir sur scène si elle ne lui était pas tout d'abord présentée. "A quoi devais-je cet honneur en fait ?"
Après le spectacle, elle l'a retrouvé à son hôtel, où il lui a fait écouter dans sa chambre, quelques chansons à paraitre, quelques mois plus tard, sur l'album "Blonde on Blonde". Très bien, très bien, mais : Comment allait-il ? « Il était très absent avec une mine épouvantable. Je ne lui donnais pas longtemps à vivre. La mort était inscrite sur son visage. »
Texte original : "Oh ja, en dan was er nog die legendarische ontmoeting met Bob Dylan in Parijs. In 1966 gaf hij een concert in het Olympia en zij zat op de voorste rij. Hij zag er beroerd uit en de muziek klonk miserabel. Tijdens de ellenlange pauze kwam er op een gegeven moment iemand naar haar toe - of ze niet even mee back stage wilde gaan, aangezien de meester het verdomde opnieuw het podium te betreden als hij niet eerst aan haar was voorgesteld. ‘Waar had ik die eer eigenlijk aan te danken?’ Na afloop van het optreden werd ze meegetroond naar het hotel, waar hij haar op zijn kamer wat nummers liet horen die enkele maanden later op Blonde On Blonde zouden verschijnen. Fijn, fijn, maar eh: hoe was-ie nou? ‘Erg afwezig, op het afschrikwekkende af. Ik gaf hem niet lang meer te leven. De dood stond op zijn gezicht geschreven.’
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