Françoise Hardy : As-tu constaté que la gloire est un aphrodisiaque puissant ?
Alain Souchon : Avant, les femmes ne me regardaient pas et je les désirais tout le temps. Ça me montait à la tête. Maintenant les choses sont plus détendues et faciles. La "gloire" comme tu dis, m'a fait du bien. Elle m'a équilibré plus qu'aphrodisiaqué.
Françoise Hardy : Le fait d'intéresser les femmes maintenant que tu es connu, alors que tu n'arrivais pas à les intéresser avant, ne t'a-t-il pas rendu un peu amer ?
Alain Souchon : Pas du tout. J'adore avoir du succès. On me dit que les femmes me trouvent séduisant, je trouve ça absolument génial. C'est un véritable problème de désirer les femmes et de savoir qu'on ne les intéresse pas.
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