Paris Match : Une longue carrière d'artiste, plus de vingt ans de pratique de l'astrologie. Vous semblez être née sous une bonne étoile !
Françoise Hardy : Personne ne naît sous une bonne ou sous une mauvaise étoile, astrologiquement parlant. Un ciel natal a priori harmonieux n'ira pas forcément de pair avec une existence épanouissante, de même qu'un ciel natal a priori conflictuel n'ira pas forcément de pair avec une existence plus difficile que la moyenne.
Paris Match : Comment avez-vous personnellement découvert l'astrologie ?
Françoise Hardy : En consultant un astrologue ! J'avais 18 ans et c'est mon médecin qui m'avait conseillé de prendre rendez-vous avec un astrologue.
Paris Match : Puis vous avez suivi des cours ?
Françoise Hardy : Oui. Je suis d’abord allée à des cours publics, puis j'ai eu un professeur particulier pendant deux ans. Mais j'ai surtout appris plus tard, à partir de 1974, quand j'ai rencontré Jean-Pierre Nicola. Il est l’initiateur d'une astrologie moderne solaire. A son contact, j'ai eu l'opportunité de connaître et de pratiquer une autre astrologie, bien plus cohérente que celle qui est la plus répandue. Il m'a fait collaborer à sa revue astrologique et, avec lui, j'ai travaillé huit ans pour R.M.C.
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